Claude Cloutier est un réalisateur canadien qui excelle dans les films d’animation. Et s’il est un court métrage que j’adore c’est bien sa version revisitée et complètement déjantée du conte de Perrault, La belle au bois dormant.
Tout comme dans le conte, la belle Isabelle est victime d’une crise de narcolepsie qui la cloue au lit et provoque la tristesse de ses proches. Le roi, la reine et le petit prince font alors appel à tout le royaume en espérant que médecin, sorcière ou autre prince charmant parviendront à l’arracher des bras de Morphée.
Ce qui fait tout le charme de ce court métrage c’est la créativité de Cloutier : une foultitude de détails insolites et drôles que je vous laisse le soin de découvrir. Prenez le temps de bien le regarder jusqu’à la dernière seconde de son générique pour ne perdre aucune miette de ce petit bijou !
La morale de cette histoire ? Tout vient à point à qui sait se détendre !
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Voir les commentaires Hide comments[…] Isabelle au bois dormant – Culturez-vous. Claude Cloutier est un réalisateur canadien qui excelle dans les films d’animation. Et s’il est un court métrage que j’adore c’est bien sa version revisitée et complètement déjantée du conte de Perrault, La belle au bois dormant. Tout comme dans le conte, la belle Isabelle est victime d’une crise de narcolepsie qui la cloue au lit et provoque la tristesse de ses proches. Le roi, la reine et le petit prince font alors appel à tout le royaume en espérant que médecin, sorcière ou autre prince charmant parviendront à l’arracher des bras de Morphée. Ce qui fait tout le charme de ce court métrage c’est la créativité de Cloutier : une foultitude de détails insolites et drôles que je vous laisse le soin de découvrir. La morale de cette histoire ? En rachâchant de Huillet et Straub (1982) Programmé par le festival Côté court dans le cadre d’un panorama, « En rachâchant » du couple français Huillet-Straub renvoie son spectateur à ses années d’école et fait revivre les fantasmes contestataires de l’enfance, croisant une distanciation digne de Brecht lui-même avec l’absurde de la Rive gauche. […]