Parfois j’aimerais pouvoir me glisser dans la tête de certains artistes pour voir quel feu d’artifice créatif crépite chez eux. Chez Ibrahim Maalouf, ce doit être une fête permanente à en croire la productivité de ce musicien.
Fin septembre, il a sorti deux nouveaux disques (oui, deux, sinon ce serait trop simple !), Red & Black Light et Kalthoum, édités chez le label Mi’ster.
Ces albums sont un hommage aux femmes. Kalthoum est un disque de jazz dédié à Oum Kalthoum, chanteuse et musicienne égyptienne. Red & Black Light est davantage électro pop et se veut « une ode à la femme d’aujourd’hui et à son rôle fondateur et fondamental pour espérer un avenir meilleur ».
Malgré leurs différences, j’ai eu un vrai coup de cœur pour ces deux disques. A leurs façons, ils sont tous deux envoûtants et enivrants. C’est le genre de musique que l’on peut écouter en boucle et qui trouve sa place lentement mais sûrement dans votre quotidien.
Avec ces disques, Ibrahim Maalouf montre – si c’est encore nécessaire – toute l’étendue de son talent. Des albums à écouter sans aucune modération !
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